On les trouve sous forme de charte ou de simple courrier d’intension, parfois utilisés comme un outil de sensibilisation, ils peuvent être aussi rendu contractuels allant jusqu’à entraîner des pénalités et à imposer des responsables « chantier vert » dans chaque entreprises de travaux et/ou construction.
Parfois piloté directement par la maîtrise d’ouvrage, leurs suivis sont souvent confiés à un tiers qu’il soit l’architecte, la maîtrise d’œuvre ou un AMO « chantier vert ».
Cette journée, organisée par PALME, a été l’occasion de faire le point sur ces dispositifs, leur coût et leur efficacité à travers quelques exemples mis en œuvre chez certains adhérents de l’association. Elle sert à préciser les contours d’une charte « Chantier Vert » à rédiger dans le cadre du processus d’extension du programme REGAIN.